Synopsis
Instantané de la Havane d’aujourd’hui : un portrait contemporain d’une ville éclectique à travers un film composé de 7 chapitres réalisés par Benicio del Toro, Pablo Trapero, Julio Medem, Elia Suleiman, Gaspar Noé, Juan Carlos Tabío et Laurent Cantet.
À travers leurs différentes sensibilités, origines et styles cinématographiques, ils ont saisi l’énergie et la vitalité qui rendent cette ville unique. Certains réalisateurs ont eu le désir de croiser la réalité cubaine en prise avec son quotidien, avec le regard d’étrangers loin de leurs repères. D’autres ont choisi l’immersion totale et se sont inspirés de la vie de la population locale.
A propos du film
De Paris à la Havane
Après Paris, je t'aime (2005), Tokyo ! (2008) et New York, I Love You (id.), voici le nouveau maillon qui se rajoute à la chaîne. A l'instar de ces trois films, 7 jours à la Havane réunit un groupe de réalisateurs qui part cette fois à la découverte de Cuba, afin de rendre hommage à sa capitale. Pour ce film, sept cinéastes de renommée ont ainsi été choisis pour réaliser sept segments, dont chacun est associé à un jour de la semaine.
La Havane à Cannes
Avec 7 jours à la Havane, les sept réalisateurs sont conviés au festival de Cannes 2012. Le film a été sélectionné en Compétition Officielle dans la section Un Certain Regard, tout comme l'étaient Paris, je t'aime et Tokyo ! , deux productions appartenant au même genre (la compilation de courts-métrages).
7 jours, 7 notes, une musique
Kelvis Ochoa et Descemer Bueno sont les deux compositeurs de 7 jours à la Havane, avec la collaboration de Xavier Turull. Le duo cubain affirme que la bande originale du film est un personnage à part entière, dans le sens où elle lie de manière très fluide les différentes histoires. Très motivés par leur participation au "projet cinématographique le plus ambitieux qui a eu lieu à Cuba depuis 40 ans", les deux musiciens présentent leur musique comme une composition aussi sophistiquée que l'est la Havane.
Ce qu'en pense la presse...
Les Fiches du Cinema
À travers le regard d'une belle palette de réalisateurs internationaux, "7 jours à La Havane" prend la température de la capitale cubaine et en dépeint, sur un ton léger, la réalité sociale.
Le Monde
Sur les sept courts-métrages situés dans la capitale cubaine, seul celui d'Elia Suleiman se détache nettement.
L’Express
Pas mal. "El Yuma" (...), "La Fuente", de Laurent Cantet (...). Passables. "Jam Session", de Pablo Trapero (...) "Ritual", de Gaspar Noé (...). Pas bons. Tous les autres, pourtant signés Julio Medem, Elia Suleiman et Juan Carlos Tabio : sujets ou traitements trop légers, voire sibyllins, aucun regard neuf si ce n'est pertinent sur la ville.
Studio Ciné Live
Critique Spectateur
Le genre du film à sketches suscite toujours les mêmes réserves : le niveau forcément inégal des oeuvres qui le composent rend le résultat incertain. 7 jours à La Havane
Un très bon film sur Cuba. Certes qq stéréotypes mais tout ceux qui sont allés à Cuba s'y retrouveront.
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